ROUTE - Etape 7 : Gafsa / Hammamet
Dernière étape avant le retour, demain, via Tunis et le port de la Goulette. Une longue ligne droite entre Gafsa et Hammamet, en passant par Kairouan. 310 km, pour l'essentiel, sous une pluie diluvienne qui n'empêche personne, ici, de continuer à vaquer à ses occupations comme si de rien n'était. C'était d'ailleurs jour de grand marché dans la plupart des villages et villes traversés et l'on s'y affairait avec le même sourire que lorsqu'il pleut. Seule différence : tout le monde est bien couvert car 18 °C, c'est froid quand on est habitué à tutoyer les 40 °C.
Du coup, il valait mieux avoir des essuie-glaces qui fonctionnent. C'était aussi l'occasion de les tester pour certains et ça n'a pas loupé : un Iltis et une 2 CV ont fini sans. Quoique. Pour le premier, nous avons trouvé une solution. C'était également un bon test pour les batteries, peu sollicitées ces derniers temps. Là encore, deux ont rendu l'âme. Une sur une Iltis (par la même victime du problème d'essuie-glace), l'autre sur la 2 CV, la même. Ãa s'appelle la poisse et je vous assure que Monique n'y est pour rien.
Plus ennuyeux pour ceux qui voyagent sans portes, comme nous autres dans les Iltis. La pluie venant de travers par moments, nous avons fini dans une baignoire, presqu'aussi trempés qu'une serpillière (une since...). Pas grave, le soleil est venu d'un seul coup réchauffer nos os et évacuer l'eau. Jérôme, notre unique motard, après avoir tenté de résister deux bonnes heures à ce traitement de lessiveuse a fini dans le Primaster, sa moto sur le Mol. C'était plus raisonnable.
Au passage, nous avons récupéré la Cox de Benoît à Kairouan, retrouvant au passage bon nombre de participants venus se balader dans la médina ou visiter la Grande Mosquée. Ils avaient le temps. Nous, nous avons filé sur Hammamet au plus vite car nous avons appris que notre ami Gégé, monsieur Fiat 500 chat noir, avait encore des soucis. Cette fois, c'est avec sa pipe d'échappement.
Enfin, last but not least (?), l'Océane suite. Le pont est désespérément malade. Il a même tellement chauffé aujourd'hui que le carter s'est fendu. On l'a bourré de graisse en espérant que ça tienne jusqu'à Nice. Il ne reste plus que 500 km à faire... Croisons les doigts ou plutôt « Inch Allah » comme on dit ici. Voilà , le rallye s'achève comme il a débuté. Avec les mêmes protagonistes question pannes. Les autres prient le ciel qu'ils tiennent jusqu'au bout. Et que le soleil revenu n'ait pas disparu demain, sans quoi la traversée risque d'être un peu plus mouvementée qu'à l'aller...
Du coup, il valait mieux avoir des essuie-glaces qui fonctionnent. C'était aussi l'occasion de les tester pour certains et ça n'a pas loupé : un Iltis et une 2 CV ont fini sans. Quoique. Pour le premier, nous avons trouvé une solution. C'était également un bon test pour les batteries, peu sollicitées ces derniers temps. Là encore, deux ont rendu l'âme. Une sur une Iltis (par la même victime du problème d'essuie-glace), l'autre sur la 2 CV, la même. Ãa s'appelle la poisse et je vous assure que Monique n'y est pour rien.
Plus ennuyeux pour ceux qui voyagent sans portes, comme nous autres dans les Iltis. La pluie venant de travers par moments, nous avons fini dans une baignoire, presqu'aussi trempés qu'une serpillière (une since...). Pas grave, le soleil est venu d'un seul coup réchauffer nos os et évacuer l'eau. Jérôme, notre unique motard, après avoir tenté de résister deux bonnes heures à ce traitement de lessiveuse a fini dans le Primaster, sa moto sur le Mol. C'était plus raisonnable.
Au passage, nous avons récupéré la Cox de Benoît à Kairouan, retrouvant au passage bon nombre de participants venus se balader dans la médina ou visiter la Grande Mosquée. Ils avaient le temps. Nous, nous avons filé sur Hammamet au plus vite car nous avons appris que notre ami Gégé, monsieur Fiat 500 chat noir, avait encore des soucis. Cette fois, c'est avec sa pipe d'échappement.
Enfin, last but not least (?), l'Océane suite. Le pont est désespérément malade. Il a même tellement chauffé aujourd'hui que le carter s'est fendu. On l'a bourré de graisse en espérant que ça tienne jusqu'à Nice. Il ne reste plus que 500 km à faire... Croisons les doigts ou plutôt « Inch Allah » comme on dit ici. Voilà , le rallye s'achève comme il a débuté. Avec les mêmes protagonistes question pannes. Les autres prient le ciel qu'ils tiennent jusqu'au bout. Et que le soleil revenu n'ait pas disparu demain, sans quoi la traversée risque d'être un peu plus mouvementée qu'à l'aller...