RALLYE ILTIS - Etape 4 : Douz / Tenbaïne
Trop facile ! Daniel avait raison d'être optimiste. Il a fixé le départ à 8h30, 2h30 plus tard que la semaine dernière. Normal, nous maîtrisons. La preuve, lorsque nous arrivons au Café du parc, il est à peine 10h. Pas de brick à l'Åuf, mais un thé ou un café ou un coca. Un peu de papotage avec Amor, un peu déçu de nous voir arriver si tôt finalement. Et nous repartons, la fleur au fusil pour arriver au camp Tenbaïne à ... midi ! Même pas mal ! Pas un seul tanquage, les enchaînements de dunettes passés dans un souffle, et toujours un rythme soutenu.
Nous déballons tranquillement nos saladettes, à l'ombre de la grande tente berbère, on se repose un peu, on traîne dans le camp et puis, dans l'après-midi, le chef décide d'aller faire un petit entraînement derrière, afin de nous préparer à la dure journée qui nous attend demain. Nous voilà partis, Ahmed notre guide en tête, et nous commençons par quelques dunes sympathiques, pour arriver vers une dernière nettement plus pentue que les autres et sacrément haute. Un Iltis, puis deux, puis trois, puis quatre... Ils jouent à saute-dune, à tel point qu'Ahmed les surnomme « mes petits scarabées ». Il faut dire que c'est drôle de les voir sautiller, se lancer à l'assaut de la dune pour se poser tout en haut, jeter un bref coup d'Åil et descendre dans un joli bruit de retenue moteur (z'avez vu chef, je fais maintenant la différence entre le frein moteur et la retenue moteur, une vraie quatre-quatreuse !). Le cinquième suit, puis le sixième, le septième et Eric lance à son tour le Baja... Mais les Iltis ont labouré la trace, et ça devient quasi mission impossible... Nous décidons donc d'en rester là et nous rentrons au camp. Nous nous installons tous autour du feu, lâapéro se prépare tout près en même temps que le pain que nous nous empressons de gouter. Pour finir, nous dînons autour du feu et tout le monde au lit, demain départ 6 heures. On nous prédit l'enfer... Pour l'instant, il a plutôt la couleur du paradis...
Nous déballons tranquillement nos saladettes, à l'ombre de la grande tente berbère, on se repose un peu, on traîne dans le camp et puis, dans l'après-midi, le chef décide d'aller faire un petit entraînement derrière, afin de nous préparer à la dure journée qui nous attend demain. Nous voilà partis, Ahmed notre guide en tête, et nous commençons par quelques dunes sympathiques, pour arriver vers une dernière nettement plus pentue que les autres et sacrément haute. Un Iltis, puis deux, puis trois, puis quatre... Ils jouent à saute-dune, à tel point qu'Ahmed les surnomme « mes petits scarabées ». Il faut dire que c'est drôle de les voir sautiller, se lancer à l'assaut de la dune pour se poser tout en haut, jeter un bref coup d'Åil et descendre dans un joli bruit de retenue moteur (z'avez vu chef, je fais maintenant la différence entre le frein moteur et la retenue moteur, une vraie quatre-quatreuse !). Le cinquième suit, puis le sixième, le septième et Eric lance à son tour le Baja... Mais les Iltis ont labouré la trace, et ça devient quasi mission impossible... Nous décidons donc d'en rester là et nous rentrons au camp. Nous nous installons tous autour du feu, lâapéro se prépare tout près en même temps que le pain que nous nous empressons de gouter. Pour finir, nous dînons autour du feu et tout le monde au lit, demain départ 6 heures. On nous prédit l'enfer... Pour l'instant, il a plutôt la couleur du paradis...