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Route - 27-10 - Mimizan ou ailleurs
Ça y est. Tous les participants ont pris la route, direction le sud. Certains ont devancé l'appel et attendront le gros des troupes à Algéciras, quelques-uns ont préféré prendre le bateau aujourd'hui à Sète (ils débarqueront dès lundi et rejoindront le groupe à Kénitra), d'autres enfin partent de Gênes (nos amis italiens). Mais de toute la France, parfois dès hier soir, souvent tôt ce matin, on s'est mis en route. Le plus grand nombre a choisi de rejoindre l'assistance à Mimizan-Plage, au centre de vacances Cévéo. Sans incident. Pas la moindre panne à l'horizon. Nous sommes loin des angoisses de la session piste puisqu'à cette heure-ci, il manquait déjà deux équipages à l'appel. On sait, depuis hier, que Bruno Prestat ne sera pas de la fête. Sa Renault 4 pisse l'huile, et pourtant il a refait son moteur. La faute, semble-t-il, à des pièces non conformes. Ça mériterait qu'on creuse un peu l'histoire pour en savoir un peu plus, mais on laissera passer du temps, il a le moral dans les chaussettes. On s'interroge cependant sur un des concurrents de la dernière heure, le malchanceux Christian Mommayou qui avait cassé par deux fois sur la route et n'avait pu participer à la session piste. Il s'était donc inscrit sur la route et il devait nous retrouver à Mimizan. Il n'est pas arrivé. Aurait-il encore un problème ? On n'en sait rien, il est injoignable et nous espérons que c'est juste un changement de programme, et qu'on le reverra dès Madrid.
RAS côté Mimizan. RAS non plus du côté du petit groupe qui est parti de Béziers ce matin et qui compte six véhicules : l'Estachouette (c'est son surnom) de la famille Riberolles qui passe son temps à doubler dans les descentes et à se faire doubler dans les montées, le cabriolet Mercedes de Jean-Claude et Yannic Feuvrier, la DS de Bertrand et Laurence Cazin, la 403 commerciale de Guy et Catherine Paly, le break Volvo 121 de Serge et Régine Privat et enfin la Volvo PV544 de Marc et Dany Lascombes. Ils couchent ce soir à Lérida et rejoindront la troupe demain à Madrid. 400 km qu'ils ont décidé de faire par la nationale, parce que l'autoroute, ils en ont ras la casquette. Surtout dans l'Estachouette qui est à fond de quatre quasiment depuis le début et plafonne à 90 km/h. Vivement le Maroc et ses étapes beaucoup plus courtes, notamment à partir de Safi, qui sera désormais le terme de la deuxième étape, pour pallier le forfait d'El Jadida, pour cause de visite inopinée du roi du Maroc et de la troupe qui l'accompagne.

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