Routes - 07-11 - Zagora / Merzouga
Encore une belle journée. Avec de jolis gags. Le premier date, en fait, d'hier. Marie-France et Aurélie rejoignaient le groupe lorsqu'elles se sont faites arrêter par un policier, un peu avant Ouarzazate. « Bonjour mesdames gazelles, vos papiers. » « On a fait quelque chose de mal ? » Sourire du policier. « Juste un excès de vitesse, rien de grave. » « Ah bon ? Pourtant, je ne roulais pas vite. C'était limité à combien ? » « 60 km/h ma gazelle. » « Et je roulais à combien ? » Le policier agrandit son sourire : « à 70 km /h ! » Rien ne le prouve, pas de radar à l'horizon. Juste sa parole. Marie-France ne se démonte pas. « Vous êtes sûr ? » Le policier joue les outragés mais il avise le badge accroché à la veste de Marie-France. Il s'approche, le regarde avec curiosité et déchiffre : « 109 - Trafic. » Un doute terrible s'insinue dans son esprit. Son sourire s'évanouit peu à peu. Il recule d'un pas, hésite, puis lâche : « Vous êtes là pour le tournage d'un film ? » Je vous rappelle que Ouarzazate abrite plusieurs studios de cinéma, dont le célèbre Oscar où a été tourné un Astérix. Marie-France bombe le torse et saisit la balle au bond : « Oui, monsieur, et j'en suis la comédienne principale. » Le pandore recule d'un nouveau pas, ajuste sa veste et son bras droit monte doucement à l'équerre pour un salut militaire tout ce qu'il y a de plus respectueux. « Dans ce cas, vous pouvez y aller. Avec toutes mes excuses, madame gazelle. » Sourire conciliant de Marie-France qui redémarre et s'en va en pouffant de rire. Magnifique non ?
Au départ de Zagora, à 8h30, Daniel avait convoqué la dizaine de volontaires prêts à en découdre avant la dernière piste. Une soixantaine de kilomètres entre Zagora et N'Kob. Une piste cendrée sur les 20 premiers kilomètres, ultra roulante, puis du caillou, un peu de sable, mais surtout du caillou. Et, sur la fin, de la latérite (enfin, c'est ce qu'on avait eu sur le circuit piste, parce que la latérite est devenue, entre-temps, du goudron !). Le début est vraiment très facile, et les quelques hectomètres de cailloux n'ont pas fait de dégâts lorsque Daniel décide de stopper le convoi pour une petite halte. Philippe Roggeband s'approche du chef et lâche : « Est-ce que c'est fini les cailloux ? » Daniel se marre. « Pas du tout, on n'a pas encore commencé. » Regards inquiets. Il y a de quoi. La partie qui suit est nettement plus éprouvante pour les mécaniques et les pilotes (Maud n'a pas voulu prendre le volant et elle était même inquiète). La 4L camionnettede Jean-Yves Eudier et Olivier Lada passe avec brutalité dans un trou et y laisse une jante, cassée net, et un longeron qui se plie sous le choc. Plus de peur que de mal. La jante est changée et l'auto peut repartir, on finira la réparation ce soir. Nos Satanas et Diabolo continuent, eux, à perdre des pièces. C'est devenu une habitude. Ils voyagent de plus en plus légers et ce sont les locaux qui sont contents. Tout le long du parcours qu'ils empruntent ouvrent désormais des magasins de pièces détachées... Ils sont crevés nos héros en side-car, mais apparemment heureux. En tout cas, ils sont toujours volontaires pour souffrir et ne se plaignent jamais. Doivent être masos...
Et la route ? C'est Caro qui y était et ça n'a pas été triste non plus. « Départ de Zagora après passage de plusieurs équipages par la banque. Ici, le modernisme est arrivé en force et le même le distributeur vous souhaite la bienvenue en prononçant votre nom à la marocaine. Ca donne parfois de résultats surprenants : âbienvenue madame La Hiiii Zine'. Ca peut être drôle les nouvelles technologies. On en profite pour discuter, en attendant d'être bien servis. Je me retrouve avec les 271 (Stéphane et Christine Joly) qui font route, depuis le début, avec les 256 (Etienne Clech et Marie-Noëlle Godet). L'objectif de ces derniers, c'était de rallier Algéciras pour prendre le bateau. Tout ce qu'ils font depuis, c'est du rab'. Les 271 m'avouent qu'ils ont eu droit à un PV pour franchissement de ligne jaune. Ils se sont faits choper en même temps que les 276 (les frères Bernard). 2 fois 400 dirhams et ils ont la preuve, ils ont demandé un reçu.
Ralph Begard et Martial Savariaux (225) ont eu pas mal de problèmes ces derniers jours. Nous les avons croisés à Aït Benhaddou avec un problème de durit d'essence. Ca coulait pas mal sous l'auto mais pendant que l'un réparait (pauvre Ralph), l'autre lui passait les outils tout en sirotant une bière. J'ai la photo, je vous la mettrai dès qu'internet le voudra bien...
Notre belge préféré (Laurent Krier) avait des soucis hier sur le parking de l'hôtel ; en djellaba bleue il cherchait « une foreuse à mèche » une fois ; l'ami Pascal Langlois, qui a fait belge en seconde langue, en a déduit qu'il cherchait une perçeuse sans fil ; le tout pour... refixer son petit drapeau. Il nous amuse bien en tout cas notre gazou belge, si vous aviez le son, vous entendriez Bourvil ! Aujourd'hui il fait même taxi car il a trouvé dans un vieux garage une enseigne de taxi qu'il a fait poser ! Pour de vrai ! De plus, hier, il avait demandé à Mohamed de l'aider à poser un pare-soleil autocollant PEUGEOT ! Un vrai poème.
Hier soir c'était l'anniversaire de notre Gégé breton ; il reste très gamin car son jeu principal en ce moment reste le pistolet à eau avec lequel il arrose tout ce qui passe depuis son Mol; C'est assez radical contre les gamins qui quémandent !
Ca y est, tout le monde a récupéré ses précieux dirhams ? On peut y aller ? La route de Zagora à Merzouga traverse la vallée du Draa qui reste très fertile et agricole. En ce moment, ils ramassent les dattes et les gamins en vendent tous les kilomètres. Les femmes sont voilées, mais ont souvent fière allure. Certaines portent de véritables charges telles des bourricots ! De tmps en temps, une petite tête émerge derrière elle et deux yeux noirs contemplent ces drôles de gazous. Il faut reconnaître que quand on passe, c'est un peu le cirque pour tous les gamins. Le problème c'est que cet après-midi ils avaient carrément tendance à se mettre au milieu de la route et c'est franchemnt dangereux .
Hier on a croisé une jeune fille avec un âne qui a accepté de faire une photo. Pour la remercier on lui a offert des produits de toilette, elle a déroulé sa longue ceinture et les a mis au milieu avant de tout réenrouler sur elle ; c'est le sac à dos berbère.
. La route est pleine de tout à toute heure de la journée ; on ne sait toujours pas quelle est l'heure de l'école mais une chose est sûre : les enfants y vont, on a même l'impression qu'ils font ça toute la journée, le trajet !
Aujourd'hui route tranquille pour les copilotes ; toujours tout droit car il y a une seule route. « Attention, dans 63,200 km il y a un virage dangereux ! Dans LE carrefour à 33,400 km il faut tourner à droite ! » Comme ça c'est la paix des équipages !
Pause à midi dans un resto où on retrouve la moitié du rallye ; c'est drôle, en fait une voiture s'arrête et les autres suivent ! On a mangé des dattes noires ( pour la première fois) le serveur sympa a fait du riz pour les pauvres gazous entouristés ; il a même fait la tisane miracle : deux cuillères de cumin dans un peu d'eau froide et une tranche d'orange ; à la une, à la deux, à la trois tu bois cul sec ton verre et tu manges ton bout d'orange pour le goût ; si tu recraches pas tout, tu es assuré d'aller mieux ; et devinez quoi ; ça marche ! On est repartis avec un plein sac de cumin !
Comme le serveur parlait bien français, on a discuté. Il nous a expliqué ce qu'était la journée de la Marche verte (une marche pacifiste en 1976 dans le désert pour récupérer le Sahara pris par les espagnols). Puis il nous a expliqué la situation géo-politique complexe du Sahara et les enjeux politiques et économiques avec l'Algérie . Enfin on a essayé de parler un peu du roi, mais là c'est moins simple. Il est super le roi même s'il se déplace avec 3.000 personnes (en fait il paraît que le roi ne le sait pas...) ; tout en reconnaissant que, quand il se déplace, tout est nickel (« Ouarzazate ressemble à Genève ! ») et si on n'a pas le temps de « refaire le trottoir , on met du monde dessus ! Comme ça le roi ne voit pas que c'est sale ou en mauvais état. » Maintenant, il se méfiera quand il verra beaucoup de monde le long des rues. Ce n'est pas toujours pour l'applaudir...
Il faut quand même finir avec la panne du jour. Daniel a beau répété qu'il faut faire le plein la veille. Comme toujours, il y en a qui se croient plus malins et n'écoutent pas. Ce coup-ci, c'est un gars de... l'assistance qui nous a fait le coup de la panne. Avouez que ça la fout mal. C'est le Mercedes 113 qui tracte un des deux plateaux. Il fallait voir Alain levasseur assis sur le plateau, désespéré. Les voitures du rallye passant lui proposaient un jerrican... d'essence (mais son allemande ne goûte que le gas-oil). Sur cette route pourtant déserte un pauvre gars à vélo lui a proposé.. des fossiles ! Le coup de la panne est inexplicable. Alain dormait, donc il n'est pas au courant ! Pascal Lefebvre soutient que la jauge marquait encore un quart... Mystère. Il paraitrait qu'un certain Jean-Jacques trouvait qu'il n'y avait rien à dire et qu'il aurait commandité ladite panne... Bref le Mol est arrivé, Gégé en a profité pour allumer tout le monde avec son pistolet à eau, et partir faire un tour avec le vélo du marocain qui était toujours en train de proposer sa mallette de fossiles à tout le monde ! Et tout ça à 4 km d'une station-service...
Puis arrivée merveilleuse sur le bivouac ; on aperçoit d'abord au fond toutes les dunes, c'est magique... Puis de l'autre côte, toutes les pancartes ; Hôtel chez Ali, camping le berbère, Restaurant des dunes, la Kasbah de la Rose des vents, Souvenirs du touaregs... Bef ça brise un peu le charme ! Les anciens n'auront pas tout reconnu car l'auberge s'est développée mais ce soir le coucher de soleil était toujours aussi beau ; et les lève-tôt pourront profiter d'un lever se soleil magique sur les dunes...
Dernière news avant de vous quitter. Jean-Pierre Sauval est passé devant moi, furax. Il semblerait que quelqu'un ait versé de l'eau de Javel sur la capote de son cabriolet. Un autochtone ou quelqu'un qui lui en voudrait ? Bizarre, mais nous menons l'enquête.Après tout, il se peut que la piscine ait débordé (blague à la Sauval,désolé...). Bises des dunes. »
Au départ de Zagora, à 8h30, Daniel avait convoqué la dizaine de volontaires prêts à en découdre avant la dernière piste. Une soixantaine de kilomètres entre Zagora et N'Kob. Une piste cendrée sur les 20 premiers kilomètres, ultra roulante, puis du caillou, un peu de sable, mais surtout du caillou. Et, sur la fin, de la latérite (enfin, c'est ce qu'on avait eu sur le circuit piste, parce que la latérite est devenue, entre-temps, du goudron !). Le début est vraiment très facile, et les quelques hectomètres de cailloux n'ont pas fait de dégâts lorsque Daniel décide de stopper le convoi pour une petite halte. Philippe Roggeband s'approche du chef et lâche : « Est-ce que c'est fini les cailloux ? » Daniel se marre. « Pas du tout, on n'a pas encore commencé. » Regards inquiets. Il y a de quoi. La partie qui suit est nettement plus éprouvante pour les mécaniques et les pilotes (Maud n'a pas voulu prendre le volant et elle était même inquiète). La 4L camionnettede Jean-Yves Eudier et Olivier Lada passe avec brutalité dans un trou et y laisse une jante, cassée net, et un longeron qui se plie sous le choc. Plus de peur que de mal. La jante est changée et l'auto peut repartir, on finira la réparation ce soir. Nos Satanas et Diabolo continuent, eux, à perdre des pièces. C'est devenu une habitude. Ils voyagent de plus en plus légers et ce sont les locaux qui sont contents. Tout le long du parcours qu'ils empruntent ouvrent désormais des magasins de pièces détachées... Ils sont crevés nos héros en side-car, mais apparemment heureux. En tout cas, ils sont toujours volontaires pour souffrir et ne se plaignent jamais. Doivent être masos...
Et la route ? C'est Caro qui y était et ça n'a pas été triste non plus. « Départ de Zagora après passage de plusieurs équipages par la banque. Ici, le modernisme est arrivé en force et le même le distributeur vous souhaite la bienvenue en prononçant votre nom à la marocaine. Ca donne parfois de résultats surprenants : âbienvenue madame La Hiiii Zine'. Ca peut être drôle les nouvelles technologies. On en profite pour discuter, en attendant d'être bien servis. Je me retrouve avec les 271 (Stéphane et Christine Joly) qui font route, depuis le début, avec les 256 (Etienne Clech et Marie-Noëlle Godet). L'objectif de ces derniers, c'était de rallier Algéciras pour prendre le bateau. Tout ce qu'ils font depuis, c'est du rab'. Les 271 m'avouent qu'ils ont eu droit à un PV pour franchissement de ligne jaune. Ils se sont faits choper en même temps que les 276 (les frères Bernard). 2 fois 400 dirhams et ils ont la preuve, ils ont demandé un reçu.
Ralph Begard et Martial Savariaux (225) ont eu pas mal de problèmes ces derniers jours. Nous les avons croisés à Aït Benhaddou avec un problème de durit d'essence. Ca coulait pas mal sous l'auto mais pendant que l'un réparait (pauvre Ralph), l'autre lui passait les outils tout en sirotant une bière. J'ai la photo, je vous la mettrai dès qu'internet le voudra bien...
Notre belge préféré (Laurent Krier) avait des soucis hier sur le parking de l'hôtel ; en djellaba bleue il cherchait « une foreuse à mèche » une fois ; l'ami Pascal Langlois, qui a fait belge en seconde langue, en a déduit qu'il cherchait une perçeuse sans fil ; le tout pour... refixer son petit drapeau. Il nous amuse bien en tout cas notre gazou belge, si vous aviez le son, vous entendriez Bourvil ! Aujourd'hui il fait même taxi car il a trouvé dans un vieux garage une enseigne de taxi qu'il a fait poser ! Pour de vrai ! De plus, hier, il avait demandé à Mohamed de l'aider à poser un pare-soleil autocollant PEUGEOT ! Un vrai poème.
Hier soir c'était l'anniversaire de notre Gégé breton ; il reste très gamin car son jeu principal en ce moment reste le pistolet à eau avec lequel il arrose tout ce qui passe depuis son Mol; C'est assez radical contre les gamins qui quémandent !
Ca y est, tout le monde a récupéré ses précieux dirhams ? On peut y aller ? La route de Zagora à Merzouga traverse la vallée du Draa qui reste très fertile et agricole. En ce moment, ils ramassent les dattes et les gamins en vendent tous les kilomètres. Les femmes sont voilées, mais ont souvent fière allure. Certaines portent de véritables charges telles des bourricots ! De tmps en temps, une petite tête émerge derrière elle et deux yeux noirs contemplent ces drôles de gazous. Il faut reconnaître que quand on passe, c'est un peu le cirque pour tous les gamins. Le problème c'est que cet après-midi ils avaient carrément tendance à se mettre au milieu de la route et c'est franchemnt dangereux .
Hier on a croisé une jeune fille avec un âne qui a accepté de faire une photo. Pour la remercier on lui a offert des produits de toilette, elle a déroulé sa longue ceinture et les a mis au milieu avant de tout réenrouler sur elle ; c'est le sac à dos berbère.
. La route est pleine de tout à toute heure de la journée ; on ne sait toujours pas quelle est l'heure de l'école mais une chose est sûre : les enfants y vont, on a même l'impression qu'ils font ça toute la journée, le trajet !
Aujourd'hui route tranquille pour les copilotes ; toujours tout droit car il y a une seule route. « Attention, dans 63,200 km il y a un virage dangereux ! Dans LE carrefour à 33,400 km il faut tourner à droite ! » Comme ça c'est la paix des équipages !
Pause à midi dans un resto où on retrouve la moitié du rallye ; c'est drôle, en fait une voiture s'arrête et les autres suivent ! On a mangé des dattes noires ( pour la première fois) le serveur sympa a fait du riz pour les pauvres gazous entouristés ; il a même fait la tisane miracle : deux cuillères de cumin dans un peu d'eau froide et une tranche d'orange ; à la une, à la deux, à la trois tu bois cul sec ton verre et tu manges ton bout d'orange pour le goût ; si tu recraches pas tout, tu es assuré d'aller mieux ; et devinez quoi ; ça marche ! On est repartis avec un plein sac de cumin !
Comme le serveur parlait bien français, on a discuté. Il nous a expliqué ce qu'était la journée de la Marche verte (une marche pacifiste en 1976 dans le désert pour récupérer le Sahara pris par les espagnols). Puis il nous a expliqué la situation géo-politique complexe du Sahara et les enjeux politiques et économiques avec l'Algérie . Enfin on a essayé de parler un peu du roi, mais là c'est moins simple. Il est super le roi même s'il se déplace avec 3.000 personnes (en fait il paraît que le roi ne le sait pas...) ; tout en reconnaissant que, quand il se déplace, tout est nickel (« Ouarzazate ressemble à Genève ! ») et si on n'a pas le temps de « refaire le trottoir , on met du monde dessus ! Comme ça le roi ne voit pas que c'est sale ou en mauvais état. » Maintenant, il se méfiera quand il verra beaucoup de monde le long des rues. Ce n'est pas toujours pour l'applaudir...
Puis arrivée merveilleuse sur le bivouac ; on aperçoit d'abord au fond toutes les dunes, c'est magique... Puis de l'autre côte, toutes les pancartes ; Hôtel chez Ali, camping le berbère, Restaurant des dunes, la Kasbah de la Rose des vents, Souvenirs du touaregs... Bef ça brise un peu le charme ! Les anciens n'auront pas tout reconnu car l'auberge s'est développée mais ce soir le coucher de soleil était toujours aussi beau ; et les lève-tôt pourront profiter d'un lever se soleil magique sur les dunes...
Dernière news avant de vous quitter. Jean-Pierre Sauval est passé devant moi, furax. Il semblerait que quelqu'un ait versé de l'eau de Javel sur la capote de son cabriolet. Un autochtone ou quelqu'un qui lui en voudrait ? Bizarre, mais nous menons l'enquête.Après tout, il se peut que la piscine ait débordé (blague à la Sauval,désolé...). Bises des dunes. »