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Jour 6 - Midelt - Erfoud

Je vous avais laissé, hier au soir, avec notre équipe d’assistance à qui j’avais lancé un défi : restaurer la Mercos qui traînait derrière l’hôtel, afin que je la troque, au petit matin, contre mon véhicule du moment. Malgré l’enthousiasme du moment, j’ai perçu comme une vague réticence à aller au bout du projet. Je me demande bien pourquoi parce qu’il n’y avait pas tant de boulot que ça. Pourtant, ils ont commencé par badger la voiture, ce qui est toujours un bon départ. Puis Yannick, Benoît et Arnaud ont entrepris de vérifier qu’elle était bien roulante. Ça n’était pas gagné, mais quand Didier est arrivé, il a assuré qu’avec un peu d’huile de coude et, si tout le monde s’y mettait, on devrait pouvoir y arriver. Mais avant, il a fallu bricoler sur la 2 CV d’Hervé (garde d’embrayage à régler) et sur la 404 de Fabien (arrivée d’essence erratique), et mon Didier a trouvé le moyen de se blesser… Est-ce cette minuscule égratignure qui a eu raison de la motivation de l’équipe ou l’apéro qui a fatigué tout le monde, à assouvir la descente de participants manifestement assoiffés, toujours est-il que, ce matin, la Mercos est restée sur place. Pas sûr qu’elle ait eu droit à un desserrage d’écrou… Dommage !

Maroc 2025

Aïe, aïe, c'est grave docteur ? On dirait bien...

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Un coup j'ai de l'essence, un coup j'en ai pas... Tu penses que c'est le clignotant ? C'est possible, avec la mécanique, on est à l'abri de rien. Moi, j'ai tout vu dans ma carrière. Bon, si on pratiquait plutôt l'imposition des mains ? Ça marche ? Parfois, oui...

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Hé les gars, on dirait qu'elle bouge ! Tu crois, moi je dirais plutôt que c'est Arnaud qui gigote, il a dû se rentrer un ressort de siège dans la partie molle de son anatomie. Regarde la tête qu'il fait !

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L'équipe au grand complet. A deux doigts de remettre en état la Mercos. A deux doigts, comme le précise Aurélien...

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Ce qu'il y a de bien dans notre groupe, c'est qu'on ne perd pas de temps. Le chef a dit qu'il fallait être à midi à Jurassic, on y sera !

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Patrick et sa Rancho sont partis dans les premiers. Comme souvent.

Il faut dire que le temps était malgré tout compté. Cette journée devait être un peu particulière pour nous, organisateurs et anciens de la première édition, celle de 2005. Elle l’a été, car nous avions rendez-vous à midi pour déjeuner chez nos amis Zaïd et Mouloud, à l’Auberge Jurassic. Ils nous attendaient de pied ferme pour nous faire déguster un couscous « magistral » pour rappeler à tous celui qui nous avait été servi voilà 21 ans. Un joli moment d’émotion et de souvenirs partagés que nous avons achevé par une photo de groupe, faite sous un soleil de plomb, comme à l’époque. Nous n’avons pas pu la réaliser au même endroit, la végétation ayant bien poussé et l’Auberge s’étant considérablement agrandie. Et ce soir, nous avons rejoint le Xaluca d’Erfoud, notre point de passage habituel qui marque l’entrée dans le Grand Sud et le désert du Sahara. Là encore, il devrait y avoir de l’émotion ce soir. En attendant, profitez de ces quelques images…

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La Rodéo de Pascal et Mimi a bien changé depuis le premier rallye au Maroc. Mais c'est bien la même !

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Jean-Louis et Jocelyne sur le départ.  Ils fonctionnent à la carte et au Tom-Tom...

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Chez Zaïd et Mouloud, nous sommes comme à la maison !

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Mouloud a fait cadeau à Daniel d'un joli chapeau...

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Avec la musique, la fête est plus folle !

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Houlà, ça fait du monde !

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Dany et Madame la Baronne repartent déjà. Direction le Xaluca et Erfoud !

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Depuis le réglage de la garde d'embrayage, la 2 CV d'Hervé se porte comme un charme.

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Annick et Laurent sont toujours en train de se marrer. Heureuses natures...

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Allez, quelques images de paysages. Il n'y a pas que nos bagnoles dans la vie...

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Vraiment sympas ces cafés ambulants. Hassan nous a expliqué que c'est pendant le Covid qu'ils sont apparus : les cafés ne pouvaient plus ouvrir, alors on faisait table ouverte chez soi ou on s'équipait pour attendre le client sur le bord des routes. Au grand air, le virus « il était tué par la chaleur et on se protégeait avec nos chèches ». On a continué. A 1 euro le café, quand on sait que le salaire moyen est de 380€ euros mensuels, ce n'est pas un si mauvais calcul. Hasasn s'est même équipé de panneaux solaires pour une autonomie quasi totale. Et voilà, « sois le bienvenu mon ami ».

 


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