Une fois encore, il fallait faire des choix. Visiter ou déguster, rouler ou se heurter aux bouchons bordelais. Pas ceux qui cèlent les bouteilles d'un précieux nectar. Ceux qui cul-à-cultent dès les abords de la capitale de l'Aquitaine et vous font perdre une bonne heure jusqu'à faire bouillir de rage nos montures. Du coup, beaucoup ont zappé le site préhistorique des Eyzies ou simplement visité le site pour serpenter dans les boucles de la Vézère et admirer les châteaux tombés en pluie sur la région. Il y en a partout, majestueux, dominant la vallée, baignés de soleil et environnés par une verdure qui se reflètent dans les eaux calmes de la rivière.
Les vignes étaient partout présentes, du bergeracois au saint-émilion et ça vendangeait sec. L'occasion de s'arrêter pour quelques dégustations ou manger sur une terrasse ombragée. Pour finir par le Médoc et le Haut-Médoc dont nous avons suivi avec délectation les crus qui défilaient. Saint-Estèphe, Pauillac, Saint-Julien, Moulis-Médoc, Listrac-Médoc, Margaux. Mieux qu'une visite de cave que nous poursuivrons demain matin avant d'embarquer sur le bac. Sous le soleil et avec la chaleur qui sont revenus pour ces derniers jours d'un périple de dingue !
La Vézère et ses jolis reflets verts et bleus.
Le Tour de France est manifestement passé par là. Nous avons retrouvé un retardataire !
A Lalinde, une jolie déco.
La panouille du jour. Un fusible sur la Jaguar XK150 de Jean. Bonne fille, l'auto a eu le bon goût de s'arrêter juste devant l'assistance !
Les vignes de Saint-Emilion.
Vue sur les toits de Saint-Emilion.
Saint-Emilion.
Saint-Emilion.
Vendange dans le Médoc.
La Spitfire de Gazoline à l'arrivée, toujours vaillante malgré de petits problèmes de chauffe.